New Orleans Pelicans

Spoiler:

Spoiler:

On a cru à deux moments que la blague des Knicks allait recommencer, au 1er QT tout d'abord quand aucun tir ouvert ne rentrait et qu'on été à 0/6 à 3 pts et ensuite au début de la seconde mi-temps quand alors qu'on menait de 10 points Robin Lopez a décidé de planter un 3 pts et McDermott de devenir MJ pendant 3 attaques. Heureusement on a su reprendre le dessus et s'offrir finalement une victoire facile. Notamment grâce à l’inévitable Buddy Hield qui signe là son match référence, très peu de déchet et une présence dans tout les compartiments du jeu sans rien forcer pour autant.

Spoiler:

Spoiler:

Retour à la réalité compliqué après plusieurs matchs contre l'IA, Detroit a su imposer son physique et aller nous provoquer à l'intérieur, obtenant plusieurs +1 sur la tête de nos grands. Heureusement pour nous ils ont été maladroits sur la ligne des lancers et on a assuré au rebond pour les priver de secondes chances, résultat on a fait la course derrière mais on a réussi à rester à distance tout le match, si l'écart était monté à 10 points je ne pense pas qu'on aurait pu revenir. Surtout que notre banc a été très décevant, peu de mouvements, pas d'adresse, Hield et Davis ont dû se multiplier pour compenser l'absence des autres. On vient arracher la victoire sur le fil face à une belle équipe des Pistons.

Spoiler:

Spoiler:

Match avec des hauts et des bas, on a du mal à proposer des performances cohérentes et régulières. A l'image de Buddy Hield qui passe un peu au travers sur ce match, heureusement nos intérieurs ont été incroyables, Davis et Kaman ont martelé la raquette des Suns et on inscrit des paniers très difficiles au poste. Il faudra quand même faire beaucoup mieux à l'avenir, notamment en défense et dans la mise en place offensive.

Spoiler:

Spoiler:

Match extrêmement bizarre, on a dominé avec un début incroyable mais à chaque fois que le banc est rentré en jeu on a perdu toute notre avance, on s'est fait remonter à égalité deux fois avec des runs de 10-0 avant de recreuser un 3ème écart et tuer le match. On a laissé 11 rebonds offensifs à l'adversaire qui nous a complètement dominé sur les match-ups favorables, comme avec Melo notre manque de taille et de physique a permis à Gay de se régaler au poste 3 et Cousins a profité de sa vitesse/adresse contre Asik et de sa puissance quand il a joué en 4 contre la second unit.

Spoiler:

Spoiler:

Comme à chaque fois qu'on joue Coach Jojo on va assister à un match ultra serré qui se jouera en toute fin de match. Malgré les monstres qui composent cette équipe des Cavs aucun ne tire la couverture à lui, ils proposent un jeu collectif où chacun fait son boulot comme il faut, le coach déroule parfaitement son jeu et maîtrise l'horloge des 24 secondes à merveille. On arrive à tirer notre épingle du jeu au 4ème QT grâce à Buddy Hield et on pense avoir gagné le match lorsqu'on mène de 6 points à 40 secondes de la fin, mais c'était sans compter sur les shooteurs ultra clutch des Cavs. Parfait système pour Irving qui allume la première mèche à 3 pts en sortie d'écran, on arrive à manger le chrono mais on ne marque malheureusement pas. Bonne défense de notre part ensuite mais la balle sort et sur la remise en jeu J.R Smith va claquer un tir dont lui seul a le secret, il reçoit la balle 1 mètre 50 derrière la ligne, se retourne et décoche un tir arc-en-ciel qui va faire switch et égaliser pour les Cavs. On donne la balle à Davis au poste qui va rentrer un shoot très difficile et nous donner 2 points d'avance à 10 secondes de la fin. Les Cavs jouent la prolongation et donne la balle de l'égalisation à LBJ au poste, vu le match-up défavorable de Tyreke Evans sur le King on tente un pari et lance une prise à 2, grosse erreur puisqu'il ressort la balle sur Kevin Love seul à 3 pts qui vient nous crucifier au buzzer. Malgré la défaite, on est content d'avoir offert un beau spectacle à notre pubic et d'avoir joué un bon match de basket.

Spoiler:

Spoiler:

Grosse chute de niveau après l'excellent match contre les Cavs, les deux équipes ont été très mauvaises, pas de rythme et une mauvaise adresse même si on s'est repris sur la fin. On gagne ce match uniquement sur le talent individuel d'Anthony Davis qui a prouvé que s'il marque moins sur la saison que notre jeune rookie superstar c'est bien lui le franchise player de l'équipe. Match parfait de sa part mais même cela n'aurait pas suffit si le jeu n'avais pas décidé que les Mavs ne rentrerait pas un shoot dans ce match, nombre incroyable de shoots complètement ouverts ratés par Dallas, ça les a sorti du match et on a maîtrisé la fin de match tranquillement.

Spoiler:

Spoiler:

Le match s'est joué dans des conditions optimales, la connexion était parfaite et par conséquent le fameux temps de latence si embêtant d'habitude était inexistant. Buddy Hield en a profité pour se régaler derrière la ligne à 3 pts, enchaînant les timings parfaits, il n'aura rien eu à forcer pour faire ses stats et nous offrir une victoire maîtrisée. Ce match confirme les deux stats majeures de notre équipe après 18 matchs, meilleure défense et meilleur pourcentage à 3 points de la ligue.

Spoiler:

Spoiler:

La raison pour laquelle on a gagné ce match et qu'Anthony Davis est MVP est simple, une défense incroyable sur les intérieurs adverses. A part un sursaut d’orgueil de Millsap au 4ème QT nos intérieurs et notamment Davis ont fait vivre un calvaire aux Hawks qui voulaient attaquer notre peinture. On a pu par conséquent développer notre jeu offensif plus sereinement, les Hawks ayant une défense très étirée sur les extérieurs on en a profité pour pilonner la raquette et même si on a été très mauvais sur la ligne des lancers on a eu un très bon pourcentage dans le jeu.

Spoiler:

Spoiler:

Le match s'est joué sur des détails qui ont penché en notre faveur, quelques défenses heureuses, des shoots qui tombent au bon moment et on a réussi à créer le fameux écart si dur à obtenir dans ce genre de match au couteau. Davis prouve encore qu'il est un joueur ultra-complet et surtout un parfait protecteur de cercle, il a réussi à limiter Gasol le pivot le plus dominant de la ligue cette saison et a placé 4 contres en prime. Jrue Holiday a également tiré son épingle du jeu, c'est le meilleur passeur non-IA de la ligue (5.6 PAD/M), mais en plus il commence a bien assimiler les deux nouveaux systèmes qu'on a trouvé pour lui, s'il se met à scorer et apporter des rebonds en plus de son organisation à la mène il va vite devenir redoutable.

Spoiler:

Spoiler:

On s'attendait pas à jouer l'IA à Toronto mais on a fait avec et on est aller chercher une victoire aux forceps grâce à un Buddy Hield ultra-clutch. Le plan anti-Hield de l'adversaire a totalement démarqué Evans qui en a profité pour signer son premier carton de la saison, si d'habitude son shoot est irrégulier et fait qu'il a peu de responsabilités dans l'équipe, là il a récupéré tout les shoots qu'il y avait à prendre et s'est montré très adroit.